a. Comptabiliser le nombre et faire des statistiques utilisables pour des dossiers collectifs;
b. Obliger les écoles à fournir des justificatifs afin d’exposer leur ingérence dans l’éducation de nos enfants;
c. Impliquer les instances de révision et de recours afin de confronter les abus sur la primauté parentale;
d. Montrer que nous ne sommes pas des cas isolés ou juste une minorité qu’ils peuvent stigmatiser ;
e. Exposer un réel problème de société qui mérite un débat public et non une imposition unilatérale qui répond à un agenda d’atteinte au noyau familial;
f. Se mettre en lien avec d’autres parents pour une cause commune pour protéger nos enfants;
g. S’impliquer dans des démarches citoyennes pour donner du pouvoir aux parents pour résister ;
h. La force du nombre obligera le gouvernement à traiter la masse des demandes qui le fera forcément reculer. Le gouvernement ne veut pas vous consulter et il compte sur votre inaction pour cette mise en place.