Mon fils en secondaire un, reçoit dans son école pilote le cours qui sera présenté au mois de septembre prochain dans toutes les écoles du Québec, obligatoirement.
Donc toujours en me rappelant que les Chartes reconnaissent mon rôle de premier éducateur de mon enfant et que j’ai le droit de transmettre mes convictions à mon enfant et m’assurer que l’école respecte ses convictions, j’ai demandé à assister au cours de Citoyenneté québécoise où le cours d’éducation sexuelle serait donné. On me l’a refusé. J’ai demandé que mon enfant soit dispensé de ses cours. On m’a alors fait parvenir un formulaire demandant que j’apporte les preuves, médicales et psychologiques, que ce cours allait traumatiser mon enfant. Mais comme vous le savez, actuellement les médecins et psychologues craignent de perdre leur licence s’ils critiquent l’idéologie du genre et des pénalités ont déjà été imposés à ceux qui ont usé de leur liberté de paroles, maintenant disparues. On pense bien sûr, entre autres, au cas du psychologue bien connu Jordan Peterson ou au Dr Raymond Brière, radié trois mois pour avoir mégenré une patiente. Donc la liberté de parole, même pour les scientifiques, n’existe pas.
On m’a également averti que si mon enfant manquait ses cours d’éducation sexuelle, je serais signalé avec ce que cela implique, donc une enquête parentale. Ce ne sera pas la première fois qu’une direction scolaire fera du chantage aux parents allant parfois jusqu’à menacer d’envoyer la DPJ… Dans le premier cours auquel mon fils a assisté, il m’a témoigné que la sexologue les a entretenus de la question de la distanciation de l’autorité parentale, exprimant aux enfants qu’ils avaient maintenant d’autres sources d’informations que leurs parents. Le message implicite étant bien sûr que des personnes plus compétentes se trouvaient à l’école sur certains sujets, dont la sexologue en question.