Appel à l'action et au bénévolat du mois de decembre - EPPNE

Sept bénévoles se sont retrouvés à 17 h 30 proche d’une école. Cela leur a pris une petite heure pour préparer les affiches (installation du stand, des attaches) et à 18 h 30, en équipe de deux, ils faisaient le tour du quartier. Ils expliquaient aux gens qu’ils sont alarmés par l’enseignement de l’idéologie du genre donné de façon obligatoire, donc sans reconnaissance du rôle des parents comme premiers éducateurs de leurs enfants dans les écoles primaires et secondaires. Ils les invitaient à exprimer leur point de vue sur la question.

La réponse était presque unanime : on ne veut pas de cet enseignement dans les écoles. Plusieurs personnes ont pris des affiches qu’ils ont placées soit sur la pelouse en avant de leur maison, soit sur leur balcon. Ces affiches jalonnent maintenant le parcours des parents et enseignants sur le chemin de l’école.

Le lendemain matin, dès 7 h, deux bénévoles proposaient aux parents qui amenaient leurs enfants à l’école un appel aux enseignants à prendre conscience de leur inquiétude et à manifester leur appui à leur cause.

Puis les bénévoles ont fait le tour du stationnement de l’école pour déposer cet appel sur les pare-brises des enseignants.

Mercredi 20 novembre, deuxième sortie. Le projet se rode. Les bénévoles sont sur la route avec les affiches dès 17 h 30 et procèdent de la même façon près d’une deuxième école. Alors qu’ils s’apprêtaient à partir, ils ont été approchés par trois enseignantes de l’école qui, après avoir nié enseigner la « théorie de genre » ont expliqué être, plus que les parents, à l’écoute des enfants et plus susceptibles de les accompagner dans leur désir de transition. Puis les équipes se sont mis en route et ont rencontré des dizaines de parents alarmés par ce qui est enseigné à leurs enfants. De nombreuses affiches figurent maintenant dans le paysage environnant l’école.

Des bénévoles vont ainsi semaine après semaine, école après école, parcourir le Québec pour faire entendre la voix de tant de parents qui frappent des murs lorsqu’ils essaient d’exprimer leur opposition à l’enseignement de ladite « théorie du genre ».

Plus nous serons de bénévoles dans le plus de coins du Québec possibles, plus le message va faire partie du paysage québécois et plus nous aurons de chance de finalement faire valoir la parole des parents et de la faire respecter.

Joignez-vous maintenant à cette campagne : joignez-vous aux équipes de bénévoles, commandez votre affiche.

Pour commander des affiches et/ou faire du bénévolat

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