« Depuis les deux dernières années, je suis une des seules parents militantes à l’école de mes enfants et finalement aujourd’hui j’ai commencé à rapatrier les parents qui sont du même avis sur la cause. Je suis bénie d’avoir des enfants qui me parle et communiquent en détails ce qui se passe à leur école afin d’être leur voix et leur défenderesse.
Elles ont vécus des situations de personnes déguisées en infirmières leur enseignant que les hommes peuvent avoir des bébés à s’injectant à l’aiguille dans le ventre, à d’autres situations où on les encourage à se toucher et explorer leur partie intime, à des livres explicites retrouvés en bibliothèque sur la sexualité, et ce , dans une école primaire. »
One Reply to “Témoignage d’une maman sur transgenrisme à l’école”
Alain Rioux
28 Nov 2025 [1:28am]
L’imposition de la théorie du genre dans les écoles est le point final d’une démarche jacobine, totalitaire, sous alibi démocratique, axée à la destruction du fondement anthropologique tribal de toute communauté politique. Car, sans sexualité, nulle liberté et nulle société ne sont possibles. A ce titre, l’avènement de la contraception, la subvention de l’avortement, la dénaturation légale du mariage, la promotion constitutionnelle des diverses désorientations ont pavé la voie à ce dernier désordre. C’est pourquoi, seule une conception adéquate de la laïcité comme devoir de neutralité idéologique des salariés de l’État, tant au chapitre des opinions sacrées (diverses religions) que profanes (communisme, darwinisme, scientisme, syncrétisme, wokisme, multiculturalisme etc…), est à même de redresser une situation pédagogique et sociale délétères pour le salut public: “salus plebs suprema lex”.
One Reply to “Témoignage d’une maman sur transgenrisme à l’école”
Alain Rioux
28 Nov 2025 [1:28am]L’imposition de la théorie du genre dans les écoles est le point final d’une démarche jacobine, totalitaire, sous alibi démocratique, axée à la destruction du fondement anthropologique tribal de toute communauté politique. Car, sans sexualité, nulle liberté et nulle société ne sont possibles. A ce titre, l’avènement de la contraception, la subvention de l’avortement, la dénaturation légale du mariage, la promotion constitutionnelle des diverses désorientations ont pavé la voie à ce dernier désordre. C’est pourquoi, seule une conception adéquate de la laïcité comme devoir de neutralité idéologique des salariés de l’État, tant au chapitre des opinions sacrées (diverses religions) que profanes (communisme, darwinisme, scientisme, syncrétisme, wokisme, multiculturalisme etc…), est à même de redresser une situation pédagogique et sociale délétères pour le salut public: “salus plebs suprema lex”.